«Le col le plus difficile était le Col de La Madone, qui surplombait la ville et était réputé pour ses douze kilomètres particulièrement raides. La Madone, trop pénible pour être tentée tous les jours, était parfaite pour tester sa condition. La plupart des coureurs la faisaient une ou deux fois par saison. Je l’ai faite une fois par mois».
LANCE ARMSTRONG – Il n’y a pas que le vélo dans la vie – Éd. Albin Michel
Photo: Antonello Tabarelli de Fatis
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